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14/10/2022
Le gouvernement a présenté le 6 octobre son grand plan national de sobriété, qui vise à réduire nos consommations énergétiques de 10% à horizon 2024. Le paquet de mesures présenté a depuis fait beaucoup réagir, même s’il ne contient finalement que peu de contraintes.
Il n’y a pas de petites économies. Cette maxime prend tout son sens aujourd’hui, dans le contexte de crise énergétique. Face à la flambée des prix du gaz et de l’électricité, mais aussi pour éviter les risques de coupures cet hiver, le gouvernement a sonné la mobilisation générale, en appelant citoyens, entreprises et collectivités à réduire leurs consommations.
Il a pour cela élaboré un plan de sobriété énergétique, présenté jeudi 6 octobre, qui vise à diminuer la consommation nationale de 10% à horizon 2024. Et, si la plupart des mesures fait consensus, certaines consignes n’ont pas manqué de faire réagir les Français, qui ont parfois dénoncé trop de coercition.
Alors, recommandation ou contrainte ? On fait le point:
Baisser le chauffage : obligatoire, en théorie C’est la mesure qui n’a échappé à personne : diminuer le chauffage. La température à l’intérieur ne devra pas dépasser les 19 degrés cet hiver, que ce soit dans les maisons, les appartements, les entreprises, les centres commerciaux ou les bâtiments publics. Mais que dit la loi ? Suite au choc pétrolier de 1973, une série de mesures instaurées en 1974 ont plafonné le chauffage à 20 degrés en moyenne, avant qu’un décret ne le limite à 19 degrés en 1979.
Le gouvernement, dans le cadre de son plan de sobriété, souhaite faire connaître et appliquer cette loi.
Il s’agit là d’une température moyenne, les pièces de l’habitation pouvant varier de température pour atteindre ce seuil. En théorie, si vous dépassez cette température, l'amende encourue est de 1.500 euros. Mais dans les faits, cette mesure n’est jamais contrôlée et semble inapplicable.
L'exécutif a d’ailleurs confirmé qu’il n’était pas question de “faire venir une police des températures", rappelant que le plan misait sur l’incitation. Le respect de cette règle relèvera donc de votre bon sens.
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