Est-ce que l'immobilier va baisser en 2024 ?
30/10/2023
Il est permis de penser qu'en 2024, le recul du prix de l'immobilier devrait non seulement se poursuivre mais aussi s'accélérer, avec une moyenne de - 4 %.
Quand le prochain krach immobilier ?
La véritable baisse des prix interviendra dans un deuxième temps, pas avant début 2024 », analyse M. Marinakis.
Pour l'heure, seuls les propriétaires contraints de vendre acceptent de baisser significativement leurs prix.
Une chute des transactions de 15 %, conjuguée à une baisse des prix immobiliers de 10 %. Voilà les perspectives pour le marché immobilier fin 2023!!
Une chute de 20 % de la capacité d’emprunt:
Les principales raisons de ce revirement sont bien connues : « L’effet de l’inflation de ces derniers mois et les difficultés croissantes dans l’accès au crédit immobilier, pour cause de remontée des taux, qui devraient se poursuivre dans les semaines qui viennent pour atteindre, fin 2023, les 4 %. se font clairement ressentir sur le nombre de transactions », a justifié le président de la Fnaim. Avant d’ajouter : « Il faut réaliser qu’entre janvier 2022 et mai 2023, les emprunteurs ont vu leur capacité d’emprunt chuter de 20 %, ce qui représente en moyenne une perte de pouvoir d’achat de 40 000 euros. »
Quand le prochain krach immobilier ?
La véritable baisse des prix interviendra dans un deuxième temps, pas avant début 2024 », analyse M. Marinakis.
Pour l'heure, seuls les propriétaires contraints de vendre acceptent de baisser significativement leurs prix.
Une chute des transactions de 15 %, conjuguée à une baisse des prix immobiliers de 10 %. Voilà les perspectives pour le marché immobilier fin 2023!!
Une chute de 20 % de la capacité d’emprunt:
Les principales raisons de ce revirement sont bien connues : « L’effet de l’inflation de ces derniers mois et les difficultés croissantes dans l’accès au crédit immobilier, pour cause de remontée des taux, qui devraient se poursuivre dans les semaines qui viennent pour atteindre, fin 2023, les 4 %. se font clairement ressentir sur le nombre de transactions », a justifié le président de la Fnaim. Avant d’ajouter : « Il faut réaliser qu’entre janvier 2022 et mai 2023, les emprunteurs ont vu leur capacité d’emprunt chuter de 20 %, ce qui représente en moyenne une perte de pouvoir d’achat de 40 000 euros. »
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